~~ODT~~
La cérémonie commémorative de l'Armistice de la guerre 1914 - 1918 aura lieu le jeudi 11 novembre en face du monument aux morts sur le parvis de l'église à 12 H 30.
Armistice
http://momas.fr/cadastre&do=export_html
concert
Hens l'encastre de las animacions arron las Hèstas de Sent Martin, lo Comitat de las Hèstas de Siròs qu'organiza un concèrt de cantas polifonicas dab lo grop bearnés Balaguèra, lo dissabte 13 de noveme, de 18H00 enlà, hens la glèisa. Entrada : 5 €. A gratis entaus mensh de 12 ans. Reservacions : 06 24 03 30 55 / garit64@hotmail.com. Tà'n saber mei : http://www.orgetcom.net/artistes.php?idArtiste=40
Dans le cadre des animations proposées à l'occasion des Fêtes de la Saint-Martin, le Comité des Fêtes de Siros organise un concert de chants polyphoniques avec le groupe béarnais Balaguèra, le samedi 13 novembre, à 18H00, dans l'église. Entrée : 5 €. Gratuit pour les moins de 12 ans. Réservations : 06 24 03 30 55 / garit64@hotmail.com. Pour plus d'infos : http://www.orgetcom.net/artistes.php?idArtiste=40
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Pour vous, jardiniers, amateurs ou éclairés, collectionneurs de plantes rares et agriculteurs, une quarantaine de spécialistes seront présents lors de cette expo vente pour vous servir. Venez:
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d'élèves.
fete fête
Commune de MOMAS
- 64 230-
Le 28 juillet 2010, à 20 heures 30, le Conseil Municipal de MOMAS s’est réuni dans la salle de la Mairie, sous la présidence de M. ESTRADE Daniel, Maire.
Etaient présents : MM. DESCAMPS, BARADAT, MASSOU, MARIOT, CAZERES, Mmes PEDURTHE, ARETTE, LOUBIX, Mlle BROUGÉ –
Absents excusés : M. BARBEREAU
La Commune a lancé deux études en parallèle: le diagnostic territorial préalable à un positionnement pour amorcer un PLU ou réviser la Carte Communale, et une étude relative à l'assainissement sur la commune.
En effet, la problématique de l'assainissement empêche aujourd'hui les élus de se projeter compte tenu des contraintes du territoire (sol et milieu récepteur), de la réglementation et des craintes budgétaires.
Ainsi, l'étude relative à l'assainissement a pour but d'aider la Commune à réaliser des choix maîtrisés sur la base d'une mission de conseil.
Le bureau d'études Axe & Site est chargé de la partie diagnostic territorial préalable à la mise en œuvre d'un document d'urbanisme. La réalisation conjointe de ces 2 missions permettra à la Commune un positionnement éclairé sur les besoins de planification de son territoire.
Monsieur RIVIERE (D.D.T.M.) explique que la Commune a engagé avec la D.D.T.M. une phase de réflexion préalable prenant en compte l'ensemble des critères du territoire en matière de développement durable. Ce travail est restitué sous forme de fiches.
L'équipe de travail est composée d'élus (dont Jean-Marc MASSOU, responsable du projet) et des membres du cabinet Axe & Site qui suivront le dossier en continu : Mme VANEL-DULUC, architecte urbaniste spécialisée dans le patrimoine ancien et Mme BARROSO, ingénieur agronome écologue.
La première étape est celle du diagnostic (objet de la Commande Axe & Site) qui consiste à collecter de nombreuses données pour réaliser une photographie du territoire communal afin d'en faire ressortir les différents enjeux et à différentes échelles (site, commune, intercommunalité…)
Des réunions thématiques seront organisées périodiquement (réunions mensuelles) afin de partager les analyses, enrichir la réflexion et accompagner la Commune dans l'élaboration de son projet (P.A.D.D. = Projet d'Aménagement et de Développement Durable, phase non prévue dans la commande de l'étude). Ce projet est un élément central du P.L.U. et constitue l'armature qui justifie le projet de la Commune.
A ce stade, il est noté que la Commune doit, dans un premier temps, s'affranchir de la problématique assainissement pour exprimer son projet de village, à long terme. Les conditions relatives à l'assainissement, comme d'autres impératifs, viendront, et la mise en œuvre spatiale du projet sera adaptée.
Il est important de noter la nécessaire réflexivité à avoir enter la commune et les divers intervenants pour aboutir à une véritable appropriation du document par les élus.
Ces étapes amènent au zonage du document et au règlement.
Enfin, le cadre qui accompagne le document d'urbanisme est imposant, ce qui invite à moduler largement le pouvoir du maire en matière des choix d'urbanisation. La compatibilité avec les documents tels que les schémas directeurs, les grands principes de la Loi (économie de l'espace, préservation des espaces agricoles, développement durable…) sont autant de filtres qui positionnent « l'espace du possible ».
Le premier thème du diagnostic est l'agriculture du fait du caractère de la commune et de la qualité de cette thématique qui nous permet de découvrir le territoire dans une entrée très prégnante.
Il est donc proposé de rencontrer tous les exploitants en activité qui travaillent des terres sur la commune, que leur siège soit sur la commune ou à l'extérieur. Cette réunion permet de recueillir les informations nécessaires au diagnostic concernant ces activités.
Il s'agit de réaliser un inventaire de l'activité agricole, exploitation par exploitation, en tenant compte en particulier: de la SAU, des emplois, des successions, des projets, des bâtiments, de la situation des vignes…, de l'épandage, du bâti d'élevage, etc… Une cartographie de l'outil de travail sera un des premiers repères thématiques de la réflexion.
Un modèle de convocation sera envoyé à la Commune par les chargés d'étude.
Le dernier recensement agricole devra être fourni dès que possible de même que le recensement 2000 (RGA).
Les autres thématiques viendront par la suite enrichir au fur et à mesure la connaissance du territoire et leur superposition dessinera les enjeux: réseau eau potable, paysage, patrimoine, analyse socio-économique, logement et rythme de la construction, équipements et services, servitudes d'utilité publique, risques et nuisances, patrimoine bâti et petit patrimoine, transport et cheminements doux,..
Prochaine réunion : jeudi 21 septembre à 14h : réunion avec les exploitants agricoles.
Le Conseil Municipal adopte la modification suivante :
Conformément au décret n°95-635 du 6 mai 1995, Monsieur le Président du Syndicat Eau et Assainissement des Trois Cantons vient d'adresser à la Commune son rapport sur la qualité et le prix des services publics de l'eau potable et de assainissement, et rapport d'activités pour l'année 2009.
Monsieur le Maire donne lecture de ce rapport au conseil Municipal.
Il l'invite à délibérer.
Ouï l'exposé du Maire et après en avoir délibéré, le Conseil Municipal,
- APPROUVE le rapport annuel sur la qualité et le prix des services publics de l'eau potable et de l'assainissement, et le rapport d'acitivtés de l'année 2009 établi par le Syndicat Eau et Assainissement des Trois Cantons,
- TRANSMET à Monsieur le Préfet des Pyrénées-Atlantiques, la présente délibération, pour contrôle de la légalité.
Monsieur le Maire informe l'assemblée que l'arrêté préfectoral du 14 juin 2010 interdit à présent les techniques d'assainissement non collectif répondant aux prescriptions de l'arrêté du 7 septembre 2009 (techniques d'évacuation par rejet en milieu hydraulique superficiel et d'évacuation par irrigation souterraine de végétaux).
Il explique que ce texte implique l'impossibilité de construire sur un terrain dont la perméabilité sera inférieure à 10 mm/h, ce qui va dangereusement limiter l'urbanisation et le développement de notre Commune, mettant ainsi en danger le maintien de notre école.
A l'instar d'élus inquiets d'autres Communes, Monsieur le Maire indique avoir adressé un courrier à l'Association des Maires des Pyrénées-Atlantiques dans lequel il sollicite une intervention groupée pouvant mener à une révision de ce texte trop restrictif et pénalisant.
Afin de respecter les textes réglementaires en la matière, un bureau d'études (retenu par la Communauté de Communes du Miey de Béarn pour l'ensemble de son territoire) viendra pour effectuer un diagnostic permettant de déterminer les lieux à mettre aux normes.
Suite à l'étude de sol réalisée par M.P.E. faisant apparaître 21 et 24 mm/h de perméabilité, toute latitude est laissée à la Commune pour mener un projet d'urbanisation sur ce terrain.
Le Conseil Municipal délibère à l'unanimité pour confirmer l'acquisition de cette propriété cadastrée B. 134, 135, 1137, 1139, 1141 aux prix suivants :
- lot 1141 : 35 000 €
- lots constructibles 134 + 135 + 1137 + 1139 : 160 000 €.
.
Les travaux de revêtement réalisés, à ce jour, et mandatés par la Communauté de Communes dans le cadre de sa compétence voirie sont : Cami Pipaoutou, chemins de Berné, Tressères, Lassus, tarride, Labouyrie, Hyppolite, route de Lonçon,
Suite à une réunion avec Monsieur BERGON, responsable d'EIFFAGE, un projet de réhabilitation est envisagé et sera présenté ultérieurement, après étude par la commission communale.
Un relevé effectué par le cabinet DEPOND-ARNAUDIN, géomètres experts, laisse apparaître un volume d'extraction de l'ordre de 450 000 m³.
La ligne électrique desservant la propriétés BENDAILH va être modifiée et remplacée par une ligne souterraine longeant la voie dite de Tarride.
Cette création de ligne sera entièrement à la charge d’ERDF et de l’entreprise installant les panneaux photovoltaïques ; aucune participation financière ne sera demandée à la Commune ou au SDEPA.
Pour extrait conforme au registre.
Le Maire,
D. ESTRADE
Commune de MOMAS
SÉANCE DU 16 juin 2010
- 64 230-
Le 16 juin 2010, à 20 heures 30, le Conseil Municipal de MOMAS s’est réuni dans la salle de la Mairie, sous la présidence de M. ESTRADE Daniel, Maire.
Etaient présents : MM. DESCAMPS, BARADAT, MASSOU, MARIOT, CAZERES, BARBEREAU, Mmes PEDURTHE, LOUBIX, ARETTE, Mlle BROUGÉ –
Absents excusés :
L'extraction des matériaux arrivant à son terme, le Conseil Municipal décide de mandater le Cabinet DEPOND-ARNAUDIN pour réaliser un relevé quantifiant les matériaux extraits dans le but de comparer cette mesure à celle effectuée par les géomètres de la société EIFFAGE.
L’entreprise VERDUGAUD, dont la proposition pour la rénovation du porche intérieur de l'église avait déjà été retenue lors de la précédente séance, a aussi été choisie pour réaliser une fontaine. Le coût de cette fontaine est de 6 000 € H.T. et l'entreprise offre le banc qui devait coûter 400 € à la Commune (cf. précédente délibération).
L'entreprise DEMARSAN va réaliser les travaux suivants:
- engazonnement et fleurissement de la « place » située en contrebas des tilleuls contre la propriété de Monsieur PÉDEUPÉ
- plantation d'une haie contre le mur du presbytère en bordure de la route départementale (devant les coffrets électriques)
- installation d'une jardinière dans l'angle du court de tennis (contre la propriété LARQUIÉ
des devis ont été demandés pour aménager l'entrée de l'école.
Lors des dernières tempêtes, le toit de notre église a subi quelques dégâts impliquant des travaux : faîtage à refaire, ardoises à remplacer, remplacement d'une partie de la zinguerie.
L'entreprise GUICHEMERRE nous a transmis un devis pour ces travaux qui s'élèvent à 2 000 € (coût pris en charge par notre assurance à hauteur de 1 270 €, franchise déduite).
Monsieur le Maire informe l'assemblée de sa rencontre avec la famille PALETOU / MOURA qui, suite au décès de Jean-Marie PALETOU envisage de vendre une partie de sa propriété.
Le terrain situé dans la courbe du côté de la maison Sianes pourrait permettre la construction de logements communaux si l'assainissement non collectif y était adapté,
Le Conseil Municipal,
# DÉCIDE d'acquérir ledit terrain sous réserve que les résultats des sondages réalisés permettent l'installation d'un assainissement non collectif conforme à la réglementation en vigueur.
Suite à la requête déposée par Monsieur Alexis ARETTE-HOURQUET auprès du Tribunal Administratif de PAU au sujet de la croix qu'il nomme « du Ninou » (démolie dans les années 90 dans le cadre de l'élargissement de l'accès au cimetière), Monsieur BARADAT, ancien maire, informe l'assemblée présente du contexte et des décisions de l'époque afin qu'une réponse puisse être formulée par l'actuel Conseil Municipal:
[Le requérant évoque une « croix de fer » et « une maçonnerie quadrangulaire de 0,90 m de section, sur 2,20 de haut »et dénomme cet objet « la Crouts dou Ninou ». Cette appellation qui n'était usitée que par lui-même et peut être par sa famille, n'était pas utilisée par les autres voisins. Mais, il s'agit certainement de donner du corps au préjudice en tentant d'établir une réalité à la qualification de « monument religieux » ou de « monument public » (dans son courrier du 28/07/2009).
En fait, M. Arette-Hourquet nous dit que ce « monument » avait été reconstruit à l'identique par la municipalité qui avait décidé de le déplacer. C'est faux car la croix avait été implantée dans l'angle du mur du jardin du presbytère, donc dans la propriété privée de la commune, ce que reconnaît d'ailleurs M. Arette-Hourquet en page 2 de sa requête ( :« le mur de clôture dans lequel on l'avait placé »), tout en oubliant de dire qu'elle était complètement cachée par un figuier envahissant situé dans le jardin au ras du mur qui souffrait de cette proximité.
Il dit aussi, dans un courrier du 06/02/2010, que cette municipalité avait « voté les fonds pour la déplacer ». Nous cherchons en vain la délibération qui aurait autorisé ce déplacement et le vote des crédits. Par contre, la municipalité qui, en 1990, a supprimé le mur (pour permettre d'élargir l'accès au cimetière et de ce fait dégager la visibilité de l'église en mettant en valeur un puits remarquable) a bien pris une délibération et a eu recours, en raison de difficultés financières, à des bénévoles élus. Dans ce cas, le vote de crédits spécifiques s'avérait inutile.
M. Arette-Hourquet définit aussi cette croix comme « une pièce appartenant au patrimoine historique et culturel du village » et conditionne une destruction à « l'accord des Monuments de France ». Sur quelle décision formelle et nominative se fonde t-il, lui qui est si friand d'actes écrits précis? Cette croix n'a jamais fait l'objet d'un classement.
Les municipalités que j'ai conduites, pendant vingt-cinq ans avaient-elles commis « un acte délibéré d'impiété » alors que durant ces mandats, l'église a été restaurée. Un dossier conservé en mairie témoigne de l'ampleur de la restauration intérieure accomplie en 1989, ce qui a permis à M. Arette-Hourquet d'en vanter la qualité de restauration à Monseigneur Aillet lorsqu'il y est venu en avril dernier… Le ravalement extérieur a été réalisé ensuite en 2005. Durant ces mandats, la municipalité a aussi remis en état ou restauré deux croix (cimetière et placette des logements communaux). Il y a bien d'autres croix qui sont tombées en ruines faute d'un entretien minimal par la communauté paroissiale qui attend que la Commune finance ces travaux. Mais les impératifs budgétaires ont toujours contraint les élus à faire des choix. Ce sont les calvaires les plus intéressants qui ont été entretenus. D'autres croix mériteraient un effort de ceux qui donnent des leçons et qui veulent montrer leur attachement au patrimoine religieux !
En fait, le périmètre des bâtiments publics du centre du village comprend déjà un signal vu de très loin constitué par l'église et son clocher surmonté d'une croix. A une soixantaine de mètres, visible de la rue et de l'endroit où était cette croix, est érigée une croix de fer à l'intérieur du cimetière sur un socle conséquent. Pourquoi la municipalité devrait-elle ajouter un autre insigne religieux qui ne manquera pas de choquer les non croyants et les adeptes d'autres religions?
M. Arette-Hourquet conteste la réalité d'une délibération. Pourtant, elle existe et lui a été transmise. Fallait-il qu'elle précise que la croix, partie intégrante, devait être détruite ou déplacée? A notre avis, ce n'était pas nécessaire car la délibération était suffisamment explicite pour permettre à tout administré de comprendre l'objet des travaux et de plus, de s'en rendre compte immédiatement sur le site le plus passant de la commune et de réagir sur le champ.
En matière de retard à réagir, M. Arette-Hourquet se justifie par le fait qu'il pensait que la délibération précisait la démolition de la croix. L'affichage réglementaire effectué sur le panneau de la place publique à 200 mètres de chez lui et à proximité de l'église aurait pu l'édifier. On peut en conclure qu'il en avait accepté les conséquences.
Il dit aussi qu'il a été éclairé par des révélations de pratiques soit disant contraires à la démocratie dans les prises de décision de cette municipalité. Cela peut paraître étonnant puisqu'il n'a jamais soutenu cette équipe et qu'il aurait dû, pour cette raison, être d'autant plus vigilant.
Il dit enfin qu'il croyait que la remise en place de la croix se ferait à la fin des travaux. De quels travaux parle t-il? Tout était expliqué dans les bulletins municipaux et nous le mettons au défi de démontrer qu'il y ait jamais eu un plan d'ensemble. Ce secteur n'a réellement évolué qu'à l'occasion de la construction de la nouvelle mairie décidée après que le conseil municipal ait retenu - dans sa séance du 7 mars 2003 et confirmé par délibération du 3 octobre 2005 - cette solution de préférence à l'agrandissement de l'ancienne située de l'autre côté de la route. Cet argument est donc gratuit.
De plus, M. Arette Hourquet aurait dû réagir immédiatement si, comme il l'écrit, il a retrouvé la croix dans « une ravine ». Comment un homme, aussi fin connaisseur de la psychologie de ses semblables et aussi vigilant au respect de la piété religieuse n'a t-il pas compris qu'une municipalité dont il souligne « l'indifférence religieuse » (courrier du 06/02/2010) ne pouvait avoir l'intention de reconstruire la croix. Jette t-on un objet que l'on veut réutiliser?
Comment expliquer cette manifestation tardive si ce n'est que M. Arette-Hourquet profite d'un changement à la tête de la municipalité pour tenter, soit de discréditer à posteriori les quatre mandats précédents, soit de semer le trouble dans la nouvelle équipe et plus certainement les deux à la fois? Il est évident que ce jeu de contestation vingt ans après les faits est étrange pour le non initié. Il pourrait croître et embellir si l'on se réfère au courrier du 08/05/2010, adressé à la plupart des conseillers municipaux par l'intéressé, dans lequel il considère qu'un « précédent jugement doit faire jurisprudence ».
Le Conseil Municipal interrogé n'a pas manifesté son intention de remettre cette croix en place malgré le fait que son absence « touchait à la sensibilité religieuse de certains citoyens » (deuxième page de la requête) car il respecte aussi la sensibilité de très nombreux autres citoyens et la loi du 9 décembre 1905 concernant la séparation des églises et de l'Etat qui, dans son article 28, stipule qu' « il est interdit, à l'avenir, d'élever, ou d'apposer aucun signe ou emblème religieux sur les monuments publics ou en quelque emplacement public que ce soit, à l'exception des édifices servant au culte, des terrains de sépulture dans les cimetières, des monuments funéraires, ainsi que des musées ou expositions .»
Pour conclure sur une dernière marque du souci du respect des lois par le réclamant, qu'il me soit permis de vous présenter une copie du recto du tract électoral de la liste Front National aux régionales de 1992 dont le même M. Arette-Hourquet était tête de liste. Il s'agit du site nouvellement aménagé…sans la croix et sans bien sûr avoir demandé la moindre autorisation d'utiliser ce bâtiment privé communal. Il n'y pas eu de contestation juridique en vertu de l'atteinte au droit à l'image malgré les nombreuses remarques indignées d'administrés et de contribuables ne comprenant pas que l'argent public de la restauration de ce puits remarquable soit mis à profit pour une image de campagne électorale. Maire à l'époque, je n'avais pas jugé opportun de déposer une plainte qui aurait pu être interprétée comme une mise en cause de la libre expression d'un parti dont je ne partageais pas les idées.
En conclusion, nous pourrions solliciter le rejet de cette requête aux motifs suivants:
# dépôt de plainte excédant les délais du Code Général des Collectivités Territoriales (L- 2131-8),
# absence de preuve de reconnaissance du caractère de monument public pour un ouvrage courant, partie intégrante du mur objet de la délibération,
# délibération formelle non requise pour des travaux de gestion de la voirie accomplis dans le cadre de la compétence directe du maire sur le domaine privé communal sans conséquence financière
# interdiction d'ériger un emblème religieux conformément à l'article 28 de la loi du 9 décembre 1905.]
Le Conseil Municipal,après en avoir délibéré,
# DÉCIDE de répondre en ce sens à la requête de Monsieur ARETTE-HOURQUET.
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Reprise des cours d'informatique de l'association Aussevielle@Info ! Inscriptions le samedi 17 septembre à 20h30 à la salle des fêtes d'Aussevielle.
tél : 06 70 63 54 04
Vous pouvez consulter Le Compte rendu des délibérations.
Plus d'information sur le conseil municipal.
Coordonnées⇓
5 place de la Mairie
64230 - MOMAS
Horaires fixes :
* lundi de 14h à 18h30
* jeudi de 14h à 18h30
Permanence de Monsieur le Maire / élus : lundi de 17h30 à 18h30.
La possibilité de louer est réservée aux habitants de MOMAS pour les évènements qui les concernent directement. Toutes les demandes de location doivent être faites auprès du secrétariat de la mairie en fonction du planning de disponibilité.
La location des foyers est une facilité offerte par la Commune à ses habitants afin d’utiliser des équipements collectifs à destination de manifestations à caractère privé. La location des foyers communaux est réservée aux adultes résidant sur la commune de Momas et ce pour des manifestations à caractère privé et familial (baptême, communion, mariage). Les mineurs ne pourront plus louer les foyers sans qu’un adulte résidant sur la commune s’engage à être présent tout au long de la soirée, et ils ne pourront le faire que le week-end ou les veilles de jours fériés. Les foyers ne seront plus reloués aux personnes qui ne respecteront pas la destination pour laquelle ils ont loué ces salles. Lors de la location pour une date festive, le demandeur ne sera plus prioritaire l’année suivante.
Enfin les salles devront être rendues dans l’état où elles ont été trouvées; on s’attachera en particulier à respecter les modalités de tri sélectif en vigueur sur la commune, pour ce faire, un descriptif actualisé sera joint aux conventions de location à venir.
Deux chèques de caution sont demandés lors de la signature des conventions:
- petit foyer: 1 caution de 150 € (dégradations) + 1 caution de 100 € (nettoyage)
- grand foyer: 1 caution de 300 € (dégradations)+ 1 caution de 200 € (nettoyage)
L'utilisation des salles est gratuite lors d’obsèques et pour les associations du village suite à validation par le Conseil Municipal de la manifestation.
Location de matériel : 8 € par table dès la première (délibération du 6 septembre 2016).
Délais de réservation des salles et du mobilier :
- 1 mois au plus tard avant la location des foyers
- 15 jours au plus tard avant la location du mobilier
Maximum 150 personnes
La participation est fixée à 120€ + 30€ en période hivernale (du 15 octobre au 14 avril) pour un repas et 45 € pour un apéritif.
2 chèques de caution sont à déposer à la signature de la convention (cf- délibération du 26.05.2015):
300 € de caution dégradations
200 € de caution nettoyage
Maximum 25 personnes
Location du petit foyer (situé en face de la mairie) : 30 € dans les mêmes conditions.
2 chèques de caution sont à déposer à la signature de la convention (délibération du 26.05.2015):
150 € de caution dégradations
100 € de caution ménage
Momas fait partie de la Communauté de Communes des Luys en Béarn (Serres-Castet) 05 59 33 72 34.
Le site web de la communauté : http://www.cclb64.fr
Par ailleurs, pour l'assainissement (contrôles et entretien), Momas relève du Syndicat des Eaux Luy Gabas Lees (Serres-Castet) : 05 59 12 60 70.
Les tarifs des vidanges sont les suivants :
Momas est une commune française, de la région Aquitaine, située dans le département des Pyrénées Atlantiques.
Elle appartient au canton de Lescar et son arrondissement législatif est celui de Pau .
La carte peut-être visionné à cette adresse :
http://momas.fr/cartes:carte_communale_2005
http://momas.fr/rapport_de_presentation_momas.pdf
http://momas.fr/annexes_momas.pdf
~~ODT~~
Le lac de l'Ayguelongue, surnommé Lac de Mazerolles à Mazerolles et bien sûr Lac de Momas à Momas est en fait situé à la frontière entre nos deux chers villages, sur le cours de l'Ayguelongue, un ruisseau qu'il réalimente en été. Il se jette quelques centaines de mettre en aval dans le Luy de Béarn.
C'est une retenue d'eau au service de l'irrigation des parcelles agricoles avoisinantes, mais aussi un lieu remarquable pour l'étude des oiseaux migrateurs. En effet durant l'été et le début de l'automne, il se vide, son eau alimente alors les productions locales de céréales et de légumes, et quelque peu tous le bassin versant auquel il appartient.
Ainsi pour les oiseaux migrateurs il est une zone humide, comparable sous certains points à la zone de marécage qui occupait cet espace dans le temps. Ils y trouvent une alimentation variée, pour les aider dans leurs grandes aventures.
C'est un lieu de promenade apprécié par les ornithologues et les promeneurs durant toute l'année. Ce lac artificiel est un lieu naturel important pour les espèces animales et végétales qui y vivent et ce sont eux qui en sont les véritables propriétaires !
Lors de vos visites, merci de préserver leur tranquillité et la propreté du lieu.
Vous trouverez ci-dessous une liste de lien pour découvrir de différentes façons le lac.
Vous pouvez télécharger ici un dossier sur le Lac de Momas : plan_et_presentation_technique_de_la_retenue_de_l_ayquelongue.pdf
http://fr.blog.360.yahoo.com/blog-sQ_F3VcwRKEI8a1vFgQ-?cq=1&p=28
La recrudescence des vols et agressions sur les bords du Lac nous conduisent à vous demander de vous tenir prudemment, et bien faire attention à vos affaires lors de vos promenades et excursions.
Des vols sont perpétrés depuis quelques années par de voleurs de plus en plus insolents.
Aux consignes d'usage (ne rien laisser trainer de visible dans vos voitures, ne pas transporter d'objets de valeur) nous vous rappelons quelques règles simples de cet Espace pouvant conduire à des poursuites si on les enfreints :
La Mairie de Momas
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